Le JT des aînés nominé aux Trophées SilverEco 2021

Le JT des aînés nominé aux Trophées SilverEco 2021

Le JT des aînés nominé aux Trophées SilverEco 2021

 

C’est quoi les Trophées Silvereco?C’est un événement annuel qui se déroule en France, mettant en lumière les idées les plus innovantes de l’économie des séniors. Ainsi, seront récompensées les entreprises créatives, proposant des services ou produits amenant à améliorer le quotidien des séniors.

Ce festival est donc un moment important pour Boîte à Histoires qui viendra présenter, par la voix de Virginie SZAMES, le JT des Aînés, qui concourt pour le “Coup de cœur du public”.

Alors si vous aussi, vous voulez participer au développement de notre JT des Aînés, venez nous soutenir

Comment nous aider à gagner notre trophée ?

Rien de plus simple !

Suivez le guide

Grâce à votre vote, nous pourrons décrocher le prix “Coup de cœur du public.

C’est bientôt! La clôture des votes a lieu le 5 décembre 2021.

COMMENT VOTER  ? 

Cliquez sur le lien, et choisissez dans le menu déroulant le candidat “Boîte à Histoires”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Semaine Bleue

Semaine Bleue

SEMAINE BLEUE, ÉDITION 2021

 

 

Personnes âgées jouant aux échecs

LES SENIORS NE COMPTENT PAS POUR DES PRUNES

 

Les vieux, les vieillards, les gens du troisième âge, les séniors, les retraités, sont autant d’appellations « non contrôlées » pour désigner nos aînés. 

 

Depuis sa création en 1951, « La semaine bleue » désigne la première semaine d’octobre de chaque année, dédiée aux actions menées par les séniors dans différents domaines. 

On peut donc constater le niveau d’urgence de la situation grâce à une récente étude qui a évaluée qu’ 1 sénior sur 5 n’a pas ou peu de relations amicales et pire plus de 500 000 milles séniors sont isolés. 

Source : https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/09/30/avec-la-pandemie-un-demi-million-de-personnes-agees-sont-en-situation-de-mort-sociale_6096545_3224.html

 

C’est une semaine d’hommage qui nous rappelle combien les séniors font partie intégrante de la société et notamment leur rôle crucial dans le milieu associatif, au-delà de leur âge et quelle que soit leur condition sociale ou physique. 

 

Il n’est plus tabou aujourd’hui de prôner le jeunisme, cette valorisation extrême met donc à mal les séniors, qui deviennent inévitablement les laissés-pour-compte d’une société qui cache ses anciens.

C’est un rappel que “les vieux” ne servent pas uniquement à maintenir l’audimat des chiffres et des lettres mais à donner de leur temps pour éduquer, aider et transmettre. Ils ont eu aussi un rôle à jouer pour la construction du futur.

 

Papy 2.0 fait de la résistance 

 

La Semaine Bleue doit permettre aux autres générations, de comprendre les enjeux de la vieillesse et qu’elle touche et touchera chacun de nous personnellement. C’est une période de vie qui mérite d’être préparée, notamment en rappelant que les liens qui nous lient à nos proches, sont un jardin à cultiver. 

 

La Semaine Bleue va au-delà des problèmes que rencontrent les personnes âgées ou séniors, il s’agit d’apprendre à échanger et cultiver les liens humains. Il existe un paradoxe dans ce problème de société, qui touche aujourd’hui mêmes les plus jeunes, qui sont eux aussi, de plus en plus isolés dans la réalité et reliés virtuellement.

 

À la guerre comme à la guerre, les séniors prennent aussi internet à leur avantage, grâce notamment aux réseaux sociaux qui permettent de créer et d’échanger à travers des groupes. Les associations pour séniors sont présentes partout en France, et permettent de maintenir un lien social avec des sorties et des activités sportives et culturelles voire même des voyages pour les plus chanceux. 

 

Il y a une véritable volonté de la part des seniors de prendre le train en marche, mais ils ont besoin des jeunes générations pour les accompagner !

Affiche semaine bleue 2021

Pour prendre un coup d’vieux, c’est par ici ! : https://semaine-bleue.org

Journée européennes du patrimoine

Journée européennes du patrimoine

Le rendez-vous culturel de l’année

 

C’est la rentrée ! qui dit rentrée, dit journée du patrimoine.

Cet événement créé en 1984 à l’initiative de Jack Lang est gratuit et permet à tous les citoyens d’investir la culture, était à l’origine exclusivement français et s’est étendu à tous les pays membres de l’Union Européenne depuis 1991.

 

C’est le rendez-vous culturel de l’année qui offre l’occasion de découvrir non seulement des lieux fermés habituellement au public mais surtout de partir à la découverte de lieux insolites, de lieux auxquels on ne penserait pas visiter, comme les prisons, des hôtels, des cimetières.

Ainsi, le patrimoine sous toutes ses formes, nous rappelle ce que nous avons pu construire et nous donne l’énergie, l’envie de conserver cet héritage et créer à notre tour.

 

monument

A la découverte de lieux interdits

 

Pour les frileux de musées et autres expositions, ne vous en faites pas, dans les journées du patrimoine il y en a pour tout le monde et pour tous les goûts.

La culture va au-delà d’un Monet et ne se limite pas à une exposition du Quai Branly.

Heureusement sinon nous perdrions du monde en route !

La culture c’est aussi les parcs, mais oui ces lieux verdoyants que l’on aime hanter les jours ensoleillés.

Mais pas seulement, l’hôpital psychiatrique SAINTE ANNE ouvre son jardin au public, la maison d’arrêt de COLMAR.

Pour les plus classiques, vous pourrez vous faire plaisir avec une visite à l’Elysée, 

Vous l’avez compris ce week-end c’est le moment de sortir de chez soi, d’enfiler une paire de tennis et d’arpenter les lieux qui vous appellent !

galeries
Journée internationnale de la charité

Journée internationnale de la charité

Une journée anniversaire dédiée à la solidarité

 

Avez-vous déjà entendu parler de la journée de la charité ? Quelle est son origine et quel but défend-elle ?

Bienfaisance, solidarité, philanthropie, altruisme, sont autant de mots qui pourraient définir la charité. 

C’est en 2013 que l’ONU instaura la journée internationale de la charité, en hommage à la mort de Mère Teresa, le 5 septembre 1997.

L’organisation mondiale a voulu mettre en lumière le rôle important de la charité, valeur principale sur laquelle repose son existence, autrement dit grâce aux contributions des pays adhérents. Ainsi, cette célébration annuelle, vient rappeler que ce sont par les dons, quels que soient leurs formes : monétaire, d’objets, de nourritures, de bénévolat ; que la charité existe et qu’elle permet la subsistance et la survie de millions d’individus dans le monde. C’est un socle élémentaire à une humanité de plus en plus secouée. 

 

La charité en France

 

Le milieu associatif tient une place importante dans la société, notamment dans certains domaines tels que la recherche médicale, l’action sociale, l’hébergement social, où le travail des associations vient pallier un manque de structure étatique. 

Mais pas seulement, la solidarité est une valeur phare inscrite dans la devise de la France depuis la révolution française de 1789 et s’est illustrée ensuite par de nombreux dispositifs sociaux permettant d’aider les plus précarisés, comme la sécurité sociale, l’aide au retour à l’emploi, pour ne citer qu’eux. 

Notre pays est très charitable, et l’illustre à travers 1.3 millions d’associations en 2021 !  

Dès lors, la charité, sous ses différentes formes et appellations, forment un équilibre à la fois fragile et indispensable au bon fonctionnement d’une société. 

Elle appelle au partage et à l’amour, à retrouver ce qui est important pour chacun de nous : être utile. 

partage
140 ans de la loi sur la liberté de la presse

140 ans de la loi sur la liberté de la presse

Aujourd’hui, nous fêtons les 140 ans de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse en France. Cette dernière définit les libertés et responsabilités de la presse française.

La liberté de la presse dans l’Histoire

La première fois que ce terme est apparu en France, c’est sous la règne de Louis XVI lors de la séance royale du 23 juin 1789. C’est d’ailleurs l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de cette époque qui inspirera plus tard la loi du 29 juillet 1881.

Sous la Seconde République, la presse ne dispose que de très peu de liberté et fait face à une grande censure dans ses textes. Ce sera finalement sous la Troisième République que la loi sera votée, même si cette dernière subira une dénaturation due à la seconde guerre mondiale et au régime de Vichy.

image de la loi sur la liberté de la presse

En quoi consiste cette loi ?

 

Elle est considérée très souvent comme le texte juridique fondateur de la liberté de la presse et de la liberté d’expression en France. Cependant, ce texte définit également les limites de la presse et incrimine certains comportements tels que la diffamation, l’appel à la haine ou à la violence, atteinte à l’honneur d’un citoyen… 

Cette loi met fin au principe d’autorisation préalable, du cautionnement et du timbre comme le déclare l’article 5 : « tout journal ou écrit périodique peut être publié, sans autorisation au préalable, et sans dépôt de cautionnement », ce qui réduit les lourdes charges financières dont étaient victimes les journaux et favorise la naissance de petites maisons d’édition indépendantes et magazines plus modestes et diversifiés. 

 

Le 29 juillet 1881, le président de la République de l’époque, Jules Grévy, publie officiellement cette loi par décret contresigné par Jules Ferry et Ernest Constans, ministre de l’Intérieur et des Cultes. Le 30, elle est publiée au Journal officiel de la République française

 

Le saviez-vous? 

Même si la France est un pays précurseur de la liberté de la presse et d’expression, nous ne sommes que le 34ème sur 180 pays au classement mondial de la liberté de la presse. Cette position peut être expliquée par les violences envers les journalistes et l’hostilité envers ces derniers sur les réseaux sociaux.